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Né à Genève, je suis bibliothécaire à l'Université de Genève. Lors de mes cours professionnels, j'ai rencontré un personnage qui devait influencer durablement mon approche des documents que je manipulais : Monsieur Régis de Courten qui nous enseignait la bibliographie. Cet humaniste, un peu égaré dans le XXe siècle, nourrissait une véritable passion pour la généalogie et l'histoire locale. Cette passion, il me l'a communiquée et c'est pourquoi je me suis permis de lui dédier, à titre posthume, les quelques pages que j'ai rédigées sur la généalogie en Suisse romande. La généalogie de la famille Aubert m'a naturellement amené à ma commune d'origine, portant un nom qui fait sourire bien des romands non combiers : Le Chenit, dans la vallée de Joux. De cette vallée, but de maintes excursions familiales, je gardais surtout le souvenir de mon grand-père horloger, du Sentier et de l'incroyable bric-à-brac qu'il avait accumulé au cours des années, hélas aujourd'hui éparpillé aux quatre vents des déménagements et des débarras hâtifs. J'ai découvert dans les anciens documents toute une société, une histoire, un mode de vie, un état d'esprit, qui m'ont immédiatement et durablement séduit. La Vallée, comme l'appellent simplement ses habitants, les Combiers, est un bassin naturellement fermé. Il représente une sorte de microcosme. Quoique celui-ci ait toujours été largement tourné vers l'extérieur, les mariages jusqu'au début du XXe siècle y sont le fait d'une dizaine de familles : j'ai donc été naturellement amené à m'intéresser à celles-ci, et partant à toute l'histoire de La Vallée qui m'a passionné. La généalogie de la famille Aubert s'est tout naturellement transformée en généalogie combière.
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© 1996 Jean-Luc Aubert, novembre 2012 |